Alors que l’arabe est la langue invitée d’honneur du Festival d’Avignon, qui se tiendra du 5 au 26 juillet, le metteur en scène partage, dans une tribune au « Monde », son regret d’avoir laissé sa langue maternelle se perdre, et de ne pouvoir transmettre à sa fille qu’une « langue arabe trouée par la langue française ».
Mohamed El Khatib, dramaturge : « Dès que l’arabe résonne, c’est une musique sinistre qui l’accompagne. Celle du mépris pour notre langue et pour nous, les Arabes »
Scritto il 04/07/2025
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