Le droit sera accordé aux majeurs, français ou résidents, s’ils sont atteints d’une « affection grave et incurable » en « phase avancée » ou « terminale », s’ils présentent « une souffrance physique ou psychologique », et s’ils sont en capacité de manifester leur volonté de façon libre et éclairée.Une citoyenne française de 43 ans souffrant d’hémiplégie et de cécité depuis la naissance en raison d’un accident vasculaire cérébral périnatal, a été autorisée à se rendre de Besançon, en France, en Belgique pour y subir une euthanasie le 1er février 2024.
Aide à mourir : les députés ont voté les cinq conditions cumulatives pour qu’un malade soit éligible
Scritto il 21/05/2025
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